AD+bière=la tête à toto
Je dois être d'une stupidité rare ou alors, j'étais bel et bien beurrée, à mon grand regret. Comment se fait il que je ne puisse pas accepter la fin de cette pseudo relation? Serait ce dû à ses mots rassurants et qui se sont voulus sûrement sympathiques? Ou à cette terrible et effroyable sensation de ne pas plaire, de ne pas être désirée? Je pourrais déblatérer de la question avec mon psy au lieu d'exposer ce ridicule état de fait mais j'ai annulé mon rendez vous de tout à l'heure. C'est pas bien, je sais, mais quand j'ai eu la merveilleuse idée de cheker l'état de mon compte, j'ai constaté qu'il allait décroissant, flirtant dangereusement avec le zéro. Le pauvre homme, je lui dois déja une consultation, ça le fait pas de reporter à chaque fois. Donc, je piètine et remue grises pensées: mais pourquoi? Je suis parfois une idiote impulsive. Maintenant que la carotte a été mise en face des yeux de l'âne, celui-ci lui court aprés. Non seulement je n'assume pas ma solitude mais en plus je vais pouvoir me mettre un ex à dos, une fois de plus. Si il ne me trouvait pas encore bizarre ou chieuse, hé bien c'est fait! Tant pis, mais il faut savoir accepter la vérité en face, mettre de côté ces sentiments qui pourrissent l'existence et avancer tout droit. Qu'importe, malgré son statut d'être huamin, je savais depuis longtemps qu'il n'en valait pas la peine et que je ne devais pas me prendre la tête pour lui. Moralité de l'histoire: ne pas mélanger anti dépresseur avec bière et surtout ne pas recontacter ex quand précédents ont été ingurgités.
(je tiens à préciser aux personne qui m'ont accompagnée ce soir là que je n'assume pas cet acte et qu'en plus je ne veux plus jamais entendre ne serait ce qu'une insinuation à propos des hommes du feu, merci)